« Le Fleurie 1942 du domaine de la Virolette vendu à 2000 euros à la vente aux enchères qui a clôturé la fête, remet au goût du jour les vieux crus. Cependant, la dégustation des vieux millésimes au caveau samedi montre que les contenus sont bien souvent inégaux. Je me souviendrais surtout d’un Brouilly 1976 de Gérard Dutraive dégusté quelques semaines avant à l’atelier des Compères à Paris. Elégance, épices et quelques fruits à l’eau de vie.
J’ai aussi remarqué que le vieux cru après un certain nombre d’années de vieillesse, s’arrête dans le temps, comme un élixir de jeunesse. Reste à choisir la bonne bouteille et qui sait, vous aurez peut-être trouvé une potion de vie. »
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